29.6.12
28.6.12
Chez Renate Kasper
Dîner hier soir chez Renate Kasper.
Photo de Renate devant sa série de tableaux : Ulysse de James Joyce
Photo de Renate devant sa série de tableaux : Ulysse de James Joyce
21.6.12
16.6.12
Christine Chamson, « Explosions intimes », le galet (Francis Ponge) Œuvres sur papier.
Christine Chamson est désormais une valeur sûre de la Galerie Olivier Nouvellet. Pour la quatrième
fois, elle y expose ses œuvres. Aujourd’hui, ses « Explosions intimes » nées d’une urgence de peindre, entrent à
nouveau en résonnance avec l’œuvre de Francis Ponge1, un écrivain qui l’inspire. Cependant, il ne s’agit pas,
pour elle, de se « placer sur un plan narratif2 ». Sa peinture n’est pas une forme de mimesis du poème. Il s’agit
pour elle d’être «en immersion complète » (Ibid.) dans le poème, de l’accueillir en soi puis l’oublier pour
maitriser dans l’espace de la toile ce qui touche. La peintre revisite à sa façon singulière et créatrice la fameuse
doctrine d’Horace de l’« ut pictura poesis » commentée par Lessing dans Laocoon
Août 2011 : Christine Chamson vient de passer quelques semaines à « régler » deux expositions consacrées à son œuvre. Elle relit Le Parti pris des choses. De la genèse poétique du « Galet » de Ponge, elle retient les « explosions intimes ». Elle peint alors en un mois six tableaux, dont deux tondi exposés ici « Explosions intimes V et VI », sur fond de peinture à l’huile de couleur vive (vert, orange, jaune, rouge), sur papier Japon marouflé sur toile. La technique utilisée est celle du pen painting. Les dessins sont exécutés à la plume et encre de Chine. La peintre aime la plume qui, selon son propre mot « tient la main » au contraire du pinceau plus souple. Son trait, à la base de son vocabulaire formel, est alors précis, minutieux, multiple, héritage sans doute du trait incisif du graveur qu’elle a appris aux Beaux-arts auprès du buriniste Jean-Marie Granier. Par son geste infiniment répété, elle maîtrise ses émotions et leur donne forme...
Août 2011 : Christine Chamson vient de passer quelques semaines à « régler » deux expositions consacrées à son œuvre. Elle relit Le Parti pris des choses. De la genèse poétique du « Galet » de Ponge, elle retient les « explosions intimes ». Elle peint alors en un mois six tableaux, dont deux tondi exposés ici « Explosions intimes V et VI », sur fond de peinture à l’huile de couleur vive (vert, orange, jaune, rouge), sur papier Japon marouflé sur toile. La technique utilisée est celle du pen painting. Les dessins sont exécutés à la plume et encre de Chine. La peintre aime la plume qui, selon son propre mot « tient la main » au contraire du pinceau plus souple. Son trait, à la base de son vocabulaire formel, est alors précis, minutieux, multiple, héritage sans doute du trait incisif du graveur qu’elle a appris aux Beaux-arts auprès du buriniste Jean-Marie Granier. Par son geste infiniment répété, elle maîtrise ses émotions et leur donne forme...
> Lire la suite en téléchargeant le texte au format pdf (Texte de Agnès Cousin de Ravel)
Galerie Olivier Nouvellet, 19 rue de Seine, 75006 PARIS, Dimanche 17 juin 2012
8.6.12
Jean-Loup Cornilleau
À l'atelier de Jean-Loup Cornilleau pour préparer l'exposition du dimanche
1 juillet autour de son livre : "Le gloussaire portatif" édité par les éditions De biais
1 juillet autour de son livre : "Le gloussaire portatif" édité par les éditions De biais
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