19.2.14

Groupe à la galerie : Leon Zack, William Chattaway, Aeschbacher, Guias...

Nouvel accrochage de groupe à la galerie avec :
Leon Zack
William Chattaway
Aeschbacher
Guias
Sain-Cricq
Fichet
H-A Bertrand
Benrath
Colette Brunschwig
Ken Yeung


13.2.14

Jean-Loup Cornilleau et ses invités jusqu'à samedi

Voici deux images de l'exposition Jean-Loup Cornilleau et ses invités
Marcel Lubac, Basile Cornilleau, Patrick Loughran ( Dupont )
Exposition visible jusqu'à samedi



11.2.14

Vernissage ce soir de l'exposition Jean-Loup Cornilleau

Vernissage ce soir de l'exposition Jean-Loup Cornilleau et ses invités
        
Exposition du 11 au 15 février


8.2.14

Jean-Loup Cornilleau et ses invités

Prochaine exposition 
 11 - 15 fevrier 2014

      Vernissage mardi 11 fevrier 2014
   A partir de 18 heures

Jean-Loup Cornilleau et ses invités 
Marcel Lubac 
Basile Cornilleau 
Patrick Loughran 
( Dupont )


2.2.14

Aujourd'hui : Wahida Azhari - Christine Boiry - Shawn Stipling ...

Aujourdhui de 15 heures a 19 heures à la galerie : Wahida Azhari - Christine Boiry - Shawn Stipling - Bogumila Strojna avec Barbara Halnan et Roland Orepuk

 Bogumila Strojna avec Barbara Halnan et Roland Orepuk

1.2.14

Lydia Harambourg : un article sur la peinture de Gilles Guias


Les peintures récentes de Gilles Guias lui ont été inspirées par des lieux aussi différents dans leur atmosphère que complémentaires pour son analyse plastique. Le Sud du Portugal, l’Inde du Sud – familière à celui qui, à chacune de ses étapes récurrentes, fait subir à sa peinture une évolution majeure – et Paris.
Sensible aux différences de lumière, l’artiste y voit l’unité de son équilibre. Ses personnages se sont éloignés devant la force visuelle de paysages découpés par une lumière crue. Il conserve une approche frontale qui répond à la structure des volumes puissamment peints en aplats travaillés par couches de couleurs dont les vibrations ont des résonances musicales. On assiste à une sorte d’emboitement des volumes qui, loin de figer les masses, confére un léger mouvement à sa composition. Cela tient à la saturation chromatique à laquelle il parvient à partir du travail subtil des matières desquelles se dégage une tactilité veloutée.
Gilles Guias pratique avec gourmandise la peinture sous l’apparente banalité du sujet.
Le propos n’est pas dans la narration mais dans la force expressive à transposer un souvenir, une empreinte mémorielie sur la toile. Cette opération oscille entre le mental et la sensibilité avant de laisser éclore une vision dont Ia simplicité ne doit pas nous tromper. Le paysage vit d’air et de lumière qui circulent dans le tableau ouvert sur la spatialité.
Lydia Harambourg

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